Le projet élevage en Côte d’Ivoire lancé par CGTK Agro-Pastoral vient répondre à un besoin urgent : créer des emplois, produire localement et structurer le développement rural. C’est dans cette dynamique que l’entreprise, membre du GROUPE CGTK, a officiellement posé la première pierre de sa nouvelle ferme avicole à Lekissou, dans la sous-préfecture de Molonoublé.
Un projet avicole en Côte d’Ivoire tourné vers l’impact rural
Ce projet ambitieux vise à renforcer la sécurité alimentaire tout en créant des opportunités économiques durables pour les jeunes et les femmes de la région. Il ne s’agit pas simplement de construire des bâtiments pour élever des poules, mais bien de mettre en place un système structuré, pensé pour durer, et capable de générer un impact réel à l’échelle locale.
Les composantes du projet avicole en Côte d’Ivoire à Lekissou
Le projet avicole en Côte d’Ivoire mené par CGTK Agro-Pastoral repose sur une infrastructure solide. Il comprend :
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20 bâtiments d’élevage destinés aux poules pondeuses,
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2 logements de type deux pièces pour loger le personnel encadrant,
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et 1 entrepôt de stockage pour la gestion et la conservation des produits agricoles et alimentaires.
À terme, ce sont 40 000 pondeuses qui seront élevées sur le site, avec un objectif clair : produire des œufs en quantité suffisante pour répondre à une demande locale croissante, tout en créant 20 emplois directs réservés en priorité à la population locale.
Une cérémonie communautaire pour un projet partagé
Cette initiative a été lancée dans un esprit de collaboration avec les autorités administratives et coutumières. La pose de la première pierre a été marquée par la présence de :
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Monsieur la Sous-préfet de Molonoublé,
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le propriétaire terrien qui a mis le site à disposition,
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le chef du village de Lekissou,
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le chef du village de Lekissou Kahabo,
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la présidente des femmes de Lekissou,
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et le président des jeunes de Lekissou.
Cette mobilisation générale est un signal fort : le projet est compris, soutenu et attendu par tous. Il ne s’agit pas d’une initiative parachutée, mais d’un projet enraciné dans le besoin local, construit avec et pour la communauté.
Un modèle d’entrepreneuriat rural à travers un projet d’élevage en Côte d’Ivoire
Ce type de projet est essentiel pour équilibrer les dynamiques de développement entre les zones urbaines et rurales. Alors que les grandes villes concentrent souvent les investissements, ce projet redonne de la valeur aux territoires moins visibles, mais tout aussi stratégiques pour l’économie nationale.
Derrière cette vision se trouve un entrepreneur ivoirien engagé : N’dri Wilfried Yao. Fondateur du GROUPE CGTK, il incarne cette nouvelle génération d’entrepreneurs qui croient en l’avenir du pays et n’attendent pas que tout soit parfait pour agir. Il a déjà lancé plusieurs entreprises dans des domaines clés :
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CGTK Construction (BTP),
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CGTK Résidence (immobilier),
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Cabinet Géomètre Topographe Konan (sa première entreprise).
Pourquoi ce projet d‘élevage en Côte d’Ivoire est une solution durable
Avec CGTK Agro-Pastoral, il met aujourd’hui son expérience au service du secteur agricole, en créant des projets structurants, rentables et à fort impact social. Le projet en Côte d’Ivoire qu’il pilote à Lekissou est pensé comme un modèle duplicable, une référence en matière d’agriculture moderne et de développement rural intégré.
Ce projet permet aussi de répondre à des défis importants : réduire la dépendance du pays vis-à-vis des importations d’œufs, professionnaliser l’élevage en zone rurale, et retenir les jeunes sur place en leur offrant des emplois décents et stables. Il ouvre également la voie à d’autres initiatives de transformation agro-industrielle dans la région.
Conclusion : Lekissou, terre d’avenir pour un projet d’élevage en Côte d’Ivoire
À travers ce projet d‘élevage en Côte d’Ivoire, CGTK Agro-Pastoral prouve qu’il est possible de bâtir un pont entre l’entrepreneuriat et le développement social. C’est une démonstration concrète qu’on peut investir localement, créer de la richesse, et avoir un impact durable sur la vie des gens.
Ce n’est pas juste une ferme.
C’est une vision.
Et cette vision commence ici, à Lekissou.
Une première pierre posée, et avec elle, l’espoir d’un avenir meilleur.